Comme la plupart d'entre vous sont de France, je tiens à partager deux blagues trouvées via le net !
La première Comment caresser une femme en parcourant 21 départements Français ?Il faut d’abord s’en faire une
Allier, s’assurer qu’elle est
Seine et bien en
Cher et que
Savoie vous séduit.
Lorsqu’on sent son
Eure venue, on commence par lui caresser le
Haut-Rhin puis on descend vers le
Bas-Rhin.
On contourne alors
l’Aisne pour entrer dans la
Creuse.La, ça se
Corse, on trouve quelque chose de bien
Doubs .
Sans perdre le
Nord, et pour gagner ce
Paris, on attend que ça
Vienne et si on ne se débrouille pas comme un
Manche, on peut entrer en
Gard et y rester jusqu’à
l’Aube.
En
Somme, il ne s’agit
Pas-de-Calais ni de s’endormir comme un
Loire si l’on veut devenir un
Hérault de l’amour.
Et voici la suite que la personne a intitulé suite à la 1ère : Mais laissez-moi vous raconter comment j’ai rencontré cet amour divin !Il m’est arrivé une histoire dont il faut que je vous donne, si je puis dire, la primeur :
C’était il y a quelques temps, au bal de la
Nuits Saint-Georges que j’ai rencontré la petite
Juliénas. Une fille drôlement
Gigondas, un sacré beau
Meursault, bien charpentée, et sous sa robe vermillon un grand cru classé, avec des arômes de cassis et de fraises des bois.
On a dansé
Anjou contre
Anjou sur un
Sylvaner à la mode et plus tard, lorsque je lui ai proposé de l’emmener dans mon
Chateauneuf-du-Pape, elle est devenue toute
Crozes-Hermitage !!!
Le temps d’aller chercher un
Chablis au vestiaire, de mettre un petit
Corton dans ses cheveux, on est monté dans ma
Banyuls et on a roulé jusqu’au matin.
Ah quelle belle journée !
On s’est baladé
Entre-deux-mers, il faisait beau, on a
Vacqueyras sur la plage, les pieds dans l’eau
Clairette. On s’est
Pouilly-Fuissé dans les dunes et comme le
Mercurey montait sérieusement et qu’on commençait à avoir les
Côtes-Rôties, on a décidé de rentrer.
Mais voilà, en partant nous nous sommes retrouvés coincés dans les embouteillages, enfin les bouchons, quoi !
Je commençais à
Minervois sérieusement et là,
Juliénas et moi, nous avons commencé à nous crêper le
Chinon. D’un seul coup elle a claqué la
Corbière de la
Banyuls et elle est partie ! Je me suis retrouvé comme
Macon.
Quoi, me suis-je dit, elle s’est déjà
Sauvignon avant même que j’ai le temps de la
Sauternes ! Mais je vous
Jurançon, je l’avais dans la
Pauillac, en effet, j’étais tellement
Tokay que j’ai couru après elle dans
Lalande et les
Chardonnay pour la rattraper.
Quand on s’est retrouvé, et que je l’ai vue devant moi en
Gros-plant, je lui ai dit « Ne fais pas ta
Pomerol, et ne t’en vas plus
Gamay ! »
En pleurant, elle est tombée dans mes bras en
Madiran : « Ne m’en veux pas, je voulais être sûre que ton
Saint-Amour était vraiment
Sancerre ».
Depuis on ne s’est plus cuités !!!